La cathédrale Notre-Dame de Paris, communément appelée Notre-Dame, est la cathédrale de l'archidiocèse de Paris, située sur l'île de la Cité.
Sa construction s'étend sur plus de deux siècles, de 1163 au milieu du xive siècle. La cathédrale bénéficie de 1844 à 1864 d'une importante restauration, parfois controversée, sous la direction de l’architecte Viollet-le-Duc, qui y incorpore des éléments et des motifs inédits. Pour ces raisons, le style n’est pas d'une uniformité totale : la cathédrale possède ainsi des caractères du gothique primitif et du gothique rayonnant. Les deux rosaces, qui ornent chacun des bras du transept, sont parmi les plus grandes d’Europe.
Pendant de nombreux siècles, la cathédrale est l'une des plus grandes d'Occident et est l'un des monuments les plus emblématiques de Paris. Elle a inspiré de nombreuses œuvres, notamment le roman de Victor Hugo Notre-Dame de Paris. Au début du xxie siècle, la cathédrale est visitée chaque année par quelque 13 à 14 millions de personnesb. L’édifice, aussi basilique mineure, est ainsi le monument le plus visité de Paris et d’Europe.
En 2013, le 850e anniversaire de sa construction est célébré.
Le , un violent incendie détruit la quasi totalité de la toiture de la nef, du chœur et du transept, ainsi que la flèche de la cathédrale.
Né en 1970, je suis devenu amoureux de la belle image dès le plus jeune âge.
Un Polaroïd 600 offert pour mes dix ans a été mon premier souffre-douleur.
Plus tard, ce fut le célèbre Minolta 7000i, acheté pendant mes années en Allemagne. Des cartes programmées permettaient des effets à l'origine des scènes que l'on trouve de base sur les numériques de nos jours.
Depuis, je n'ai jamais démordu des APN Reflex et opté dès la sortie des numériques pour le Canon 300D qui est devenu très populaire et bon marché. Il permettait de parfaire par moi-même les clichés en post-production avec Photoshop.
Ma rencontre avec Yann Weber, un photographe très talentueux et à multiples facettes a été aussi un moment important. Issu de la photo traditionnelle argentique, son enseignement des essentiels m'a permis d'évoluer et d'entreprendre de nouvelles perspectives photographiques.
L'occasion d'investir dans du matériel semi-professionnel (Nikon D200 en 2007) et des objectifs adhoc, tout en ouverture F/2.8.
L'investissement est à la hauteur du résultat attendu.
Devenu par la suite correspondant local pour le magazine La vie du rail, avec la mission de "vadrouiller" dans les infrastructures ferroviaires. J'apporte son lot de clichés à la rédaction.
Je signe également quelques clichés à la banque d'images FOTOLIA.
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